pesie
toujour le 4 novembre nouvelle
Silence absolu sur la mer
On ne vois pas trace de la terre
On est en pleine galère
Plus rien à manger, une vraie misère
Les matelots se regardent entr’eux
On peut lire, la faim dans leur yeux
Je ne sais pas à combien de jour on est
Du port le plus près
Les voiles sont levées
Car mes hommes sont très fatigués
Pour ramer
À vrai dire, ils sont épuisés
La colère commence à monter
On se bat, pour un poisson attrapé
La haine envahit le navire
Je crains le pire
Je crains la maladie
Le colhera, l’épidémie
Je crains à une rebellion
Et qu’on me foute à l’eau
J’arrive encore tout juste à les maitriser
J’arrive même à les faire espérer
Mais combien de temps tout cela va encore durer
Avant que je ne sois tué
Tué, ensuite mangé
Par mon équipage désarmé
Désarmé de tout espoir
Il n’y a que l’eau de la mer à boir
Le vent souffle de plus en plus fort
Plus personne ne fait d’efforts
Pour retenir le navire
Qui s’en va à la dérive
On se regarde tous en priant
On se regarde en espérant
Espérant qu’au levant
Il y’ait une ile devant
Le navire prend de la vitesse
Les matelots sont de plus en plus dans le stress
Ils craignent le pire pour eux
Ils se voyent déjà dévorer par les Dieux
Les dieux du vent, les dieux de la mer
Ces dieux loin de la terre
Ils voyent les vagues augmenter
Ils prient pour ne pas se faire emporter
…continu
23 oct 2000huit
Ce rêve tant espéré
Qui me faisait fumer des paquets entier
Ce rêve qui les nuits me réveillait
Comme, si j’avais cauchemardé.
Ce rêve qui dans mon existence
Je l’attendais depuis mon premier jour d’enfance
Ce rêve que jamais je n’ai cru réalisable
Va devenir mon comte de fable.
Qui sait demain ou je serais ?
Mais je l’ai fait
Pas encore réalisé
Cela n’est que question d’année.
C’est long on dirait
Mais il faut toujours espérer
Ne jamais se laisser aller
Pour que ce rêve, soit réalisé !
J’attendais impatiemment ce jour là
Je l’avais dis à quelques copains
Et voilà que maintenant
Se réalise mon rêve d’enfant.
Ce rêve tant attendu
Que jamais je n’avais autant prévu !
Jamais je ne m’étais dit
Qu’il allait se réaliser dans ma vie !
Je le souhaitais,
Mais jamais je ne m’étais lancé
Et un bon jour, je pris la décision
Et voilà que mon rêve est devenu passion.
Je serais toujours là pour lui
Ce rêve et devenu mon ami
Il était là et m’encourageait
Pour me dire qu’un jour, je le réaliserai.
Comme on peut savoir ou dire,
Cela est mon petit avenir
Cet avenir que j’ai tant espéré
Enfin mon rêve va se réaliser.
Un rêve d’enfant, bien innocent.
Lucky…….
25 Sept...assis...
Assis sur un tabouret
Entrain de faire le guet
Mon coude sur ce bois noir
Deviné ! C’est un comptoir.
Là ! J’attends
Que passe le temps !
Ce temps qu’on fait pressent
Ce temps qu’on appelle présent.
On ne peut arrêter de vivre le jour
Quand on est tout le temps à la bourre !
Alors je profite le soir
Pour m’asseoir en face d’un comptoir.
Ainsi je peux me défouler
Sur ma journée passée
Ce stress continu
Qui pour beaucoup, c’est du jamais vu.
Ainsi sur une feuille de papier
Je laisse mon coeur s’exprimer
Les mots ne sont pas occasionnels
C’est comme une lumière à la sortie d’un tunnel.
Je me défoule ainsi et vous ?
Lucky le poète inconnu.
25 Séptembre me voici.....
Me voici au bord de la fenêtre
Regardant cet hêtre
Cethêtre si grand, cet hêtre millénaire
Qui en à vu, des guerres.
Il est là
Me regardant du bas
Et moi, je suis là haut
Bien au chaud.
Il ne peut se couvrir
Ni se vêtir
Il a supporté mille froids
Et moi, je suis là avec toi.
Toi ma pensée
Toi mon unique idée
Toi ma seule raison
De toute cette passion.
Cette passion que je donne
Qui souvent m’étonne !
Cette passion, avec qui je joue
En lui tendant la joue.
Cette joue que je tends
Quand la passion me prend !
Cette joue embrassée
Par des gens tant aimé.
Aimé dans mon profond
Leur portant secours dans l’abandon
Aimé dans la richesse
Dans l’amour, la pauvreté et la tristesse.
Ces gens que j’aime.
Lucky le poète inconnu
je révais.......
Je rêvais ton visage
Et à chaque fois je tourne la page
Cette page de notre vie
Que je n’ose nommer oubli !
Car elle m’aide à m’inspirer
Du mal qu’on m’a fait
Elle m’aide à comprendre
Les objectifs à entreprendre
J’ai fait des erreurs et je ne regrette pas
C’est comme ça
Car regretter
C’est de n’avoir pas osé
Oser de s’aventurer
Oser de s’aimer
Oser de partager
Oser ! Mot qui me plaît
Oser dire ! Non
Même si on se retrouve dans l’abandon
Oser défier les gens
Sans, que cela ne devienne un passe-temps !
Le défi est une passion dans ma vie
Créant en moi une jalousie
Je regarde comment d’autres vivent
Il n’y a que l’argent qui les rendent ivres
Ils ne voient pas le jour
Ils n’ont pas d’émotions
Ils ne voient plus l’amour
Ne connaissant pas la passion
Ils sont là et ne pensent à rien
Ne différencie pas le mal au bien
Vivent sans savoir
Chaques êtres sur cette terre à un devoir
Celui de partager
D’aimer
De rencontrer
Et de mourir à tes côtés
Mon ange qui se trouve au paradis
Lucky le Poète Inconnu
la vie.............
La vie sur un fil tendu
moin dangereuse que la corde du pendu
la vie avance à grand pas vers le futur
et devant nous de temps en temps quelques murs.
Un échelle à nos pieds
pour pouvoir l'éscalader
et aller voir de l'autre côté
si le bonnheur y est.
Mais encore une fois on c'est trompé
un autre mur à escalader
on tombe plusieurs fois de l'échelle
mais enfin de l'autre côté une table pour deux et une chandelle.
Assis regardant autour de soi
les miroirs reflettent mon moi
ce moi que personne ne peut découvrir
sauf quand de temps en temps il est ivre.
Ivre de la tristesse de la vie
Ivre de ce monde pourri
Ivre des gens qu'il aime et qu'il à aimé
Ivre des gens qui l'ont abandonné.
Il est là, regardant toujour autour de soi
il apperçois des ombres d'un roi
Un roi qui un jour lui à prommis
d`être heureux dans sa vie.
Mais le roi avait menti,
il ne lui avait pas dit
que ces faiblesses allaient le prendre
et à nouveau être ivre pour ne plus attendre.
La seule chose qu'il fait ces jours ci
laisser son coeur parler de la vie
la vie comme il la voit
et pas seulement quand il boit.
Il regarde, pense et observe les personnes
dans sa tête tout raisonne,
des milliers de projets
à réaliser.
Mais vas-t'il aboutir à son plus grands souhait
celui de ce faire connaître par le monde entier
vas-t'il un jour pouvoir être fier de lui même
après que la vie lui ai dit je t'aime.
Non, il ne le croit pas, mais ce donne des idées
il pense à toutes ces soirées
passées seules au bord d'une route
qui ce jour là, la mit en déroute.
Il c'est trompé plusieurs fois de chemin
il c'est dit, c'est mon déstin,
et aujaurd'hui son coeur crie au fond de lui
que va me réserver la vie.
La vie lui réserve plein de surprise
et dans tout cela le pire
c'est qu'il est condamné
à souffrir pour pouvoir écrire au monde entier.
Il écrira des millions de livre
de temps en temps tombra ivre
mais dans le profond de sa pensé
il commence à pluerer, car ces livres ne seront jamais poublié.
Il apporte la joie, la tristesse et le bonnheur,
à chacune de ces heures,
un coup de crayon
et dans sa feuille apparaît le rayon.
Rayon de lune ou de soleil
pour lui tout est pareil,
l'important dans sa vie,
c'est de vivre aujaurd'hui.
A chacun de ces jours, ces peines,
toujours prêt à marcher en avant avec sa drôle de dégaine,
il avance sans savoir
ce qui se trouve de l'autre côté du miroir.
Ce miroir qui réflette,
sa petite silouette,
ce miroir qui lui dit,
quel étrange vie.
Une vie à connaître, une vie à découvrir
avancer vers l'avenir
se disant, que bientôt arrivera
un petit Ali Baba.
Lui apportant les richesses tant attendues
qui dans sa vie à tant attendu,
mais au matin de son réveil,
il c'est dit, ce n'était qu'un rêve, et la vie est toujour pareil.
Il s'endormit pour oublier,
et au matin pour écrire sur un papier
ces histoires de contes, de rois et de fées
pour que les enfants puissent rêver.
Morocutti Lucky
tu
J’ai peur de la nuit
Cette nuit, qui des fois jamais ne finit
Cette nuit, qui t’emmène au cauchemar
Et qui le matin te fout le cafard.
Ces nuits noires, pleine de solitude
Qui dans notre sommeil, comme d’habitude
Vous pénètre dans le corps
Pour vous faire du tort.
Cela rentre dans votre ventre
Vous êtes là, et ne pouvez empêcher que cela rentre
Vous avez les yeux pour regarder
Ce visage devant vous en fumée, entrain de se briser.
Vous ne l’avez pas reconnu
Et votre parole c’est tue
Vous voulez crier
Mais rien ne sortait.
Vous sentiez une ombre
Qui dans la pénombre,
Vous tournait de tous les côtés
Vous étiez là, sans défense, paralysé.
Vous vouliez combattre
De vos mains et vos pieds vous débattre
Mais rien à faire
Vous étiez comme enseveli sous la terre.
Cette ombre qui me voulait du mal.
Le chemin........
Sur cette route de montagne, peu éclairée
Je m’avançais
L’heure de minuit vient de sonner
Mais je ne crois pas que la nuit va m’emporter.
M’emporter dans la peur de ce cimetière peu éclairé
Que seulement, quelques bougies sur ce petit chemin sont entrain d’illuminer
Elles sont là, sur les tombes et me donnent l’ombre des photos
À qui je tourne le dos.
Je marche et je regarde autour de moi
Des tombes en pierre et d’autres en bois
De temps en temps un petit grincement
Mais ce n’est que le bruit du vent.
Je suis dans ma plus grande tranquillité
Je me trouve vraiment en paix
Ici parmi ces esprits
À qui, de temps en temps je redonne vie.
Je regarde de gauche à droite
Tout m’épatte
Je m’assois sur un petit escalier
Et regarde autour de moi, me disant « le monde est en paix ».
Le chemin du cimetière
Lucky Le Poète Inconnu
lumière....
La pensée est partie
Avec l’oubli
L’oubli de la tristesse
Qui donne à certain une paresse.
Celle de ne rien faire
Celle de ne plus plaire
Celle dont on s’en fou
C’est un monde à nous.
Attendant
La venue du Printemps
Regardant par la fenêtre
Les chaînes et les êtres
Plus rien n’était pareil
Même pas son sommeil
Tout était triste et sans couleur
Cela me faisait peur.
Une lumière s’alluma
« Qui es-tu toi ? »
lumière venue d’ailleurs
Cela me faisait peur.
J’attendais et j’écoutais
Ce qu’elle voulait me raconter
Me faisant croire
Que bientôt j’aurais connu la gloire.
Mais ma tristesse
Etait plus forte que ma paresse
Rien ne voulait me faire changer d’avis
Me demandant, ce qu’il y avait de beau dans la vie.
Tout d’un coup,
Deux petites pattes étaient au rendez-vous,
Celle d’un petit chien
Presque nain.
Il me regardait
Et des yeux me disaient
Je suis là mon ami
Pour te donner de la joie dans la vie.
Son regard fit pleurer
Je ne savais pas comment me faire pardonner
Je la prends dans mes bras
Et lui dit tout bas,
« Heureusement que tu es là,
Que ferais-je sans toi » ?
Elle me dit
Ce que tu as toujours fait dans ta vie.
C’est vrai je me battais
Personne ne m’écrasait
Mais un beau matin était venu
Ou j’avais perdu la vue.
Plus de couleur, plus de lumière
Mais il y avait toujours les souvenirs d’hier
Et tout d’un coup
Ces deux pattes qui étaient au rendez-vous
Mon fait ouvrir les yeux
Ce n’était pas un miracle de Dieu
Mais celui de la volonté
Qui à nouveau la lumière ma redonné.
Lucky le poète icconnu
La nuit..........
J’ai peur de la nuit
Cette nuit, qui des fois jamais ne finit
Cette nuit, qui t’emmène au cauchemard
Et qui le matin te fout le cafard.
Ces nuits noires, pleine de solitude
Qui dans notre sommeil, comme d’habitude
Vous pénètre dans le corps
Pour vous faire du tort.
Cela rentre dans votre ventre
Vous êtes là, et ne pouvez empêcher que cela rentre
Vous avez les yeux pour regarder
Ce visage devant vous en fumée, entrain de se briser.
Vous ne l’avez pas reconnu
Et votre parole c’est tue
Vous voulez crier
Mais rien ne sortait.
Vous sentiez une ombre
Qui dans la pénombre,
Vous tournait de tous les côtés
Vous étiez là, sans défense, paralysé.
Vous vouliez combattre
De vos mains et vos pieds vous débattre
Mais rien à faire
Vous étiez comme enseveli sous la terre.
Cette ombre qui me voulait du mal.