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Le blog de luckymo

suite Livre

19 Mars 2009 , Rédigé par luckymo

Ces vrais des fois j’aurais envie de la prendre dans mes bras, lui faire l’amour comme une bête, mais mes pensées ne sont pas assez fortes pour tout cela, elles se trouvent dans l’amitié qu’on c’est créé moi et Rosita. Elle a une grande confiance enmoi je ne peux trahir et dépasser cette frontière. Question de principe, il vaut mieux la garder comme une grande amie, que de se laisser aller dans notre pensée masculine, en perdant le tout. Pensant seulement à tirer notre coup, prendre un peu de plaisir, profiter au maximum, ensuite on la balance comme si de rien était, tout le monde n’est pas ainsi, même si auparavant je le faisais, mais la j’ai changé. Je me mets des deux côtés, aux personnes que je tiens, je réagis autrement, j’éprouve des sentiments ainsi l’attente pour le jour fatal est plus longue, et on y éprouve un plaisir indescriptible. Pour d’autres, juste un fois, cela c’est l’envie et l’alcool qui me fait faire des folies, tirer son coup sans aucuns sentiments, juste pour vider. Mais on est des hommes et des fois on ne peut résister à la tentation de la chaire féminine, surtout quand elles nous provoquent, nous attirent, nous forcent à commettre la faute fatale, en nous traîtant d’impuissant. Eensuite après souvent on regrette, heureusement que des fois je savais maîtriser la situation, même si la plus part du temps je suis célibataire. Je ne pourrais coucher avec une autre fille que ma copine ou ma femme, si je devais un jour la tromper , je préfère la laisser auparavant, juste question de principe encore une fois, car je n’aimerais pas qu’on me fasse la même choses. Penser qu’en rentrantà la maison, elle est passé chez son amant, tout cela me dégoutte et m’enlève toute envie, la seule que j’ai c’est celle de lui foutre une raclée. Mais je n’ai jamais tapé une femme, même pas avec une rose. Le vie les  puniras un jour, elles trouveront chaussures à leurs pieds, et verront ce que cela veut dire, aimer et être trompée par la personne en qui le moins on croyait.

 

                Ainsi va la vie, il y a des hauts et des bas, on croit à l’amour mais on s’est trompé, on croit en quelque chose et des fois ce n’est pas toujours la bonne voie qu’il faut suivre, nous apprenons avec l’âge et on acquit l’expérience pour pouvoir mieux éviter les embuscades.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

XXX

 

 

Des bruits de pas se font entendre derrière la porte, les vieux escaliers grinçantes trahissent toujours de la présence d’une personne, d’habitude c’est le chat du voisin qui me rend visite, mais lui ne fait pas de bruit il miaule devant la porte, pour que je lui donne à bouffer. Mais voyant l’ombre qui se fait de plus en plus préssante au pas de ma porte, je ne crois pas que c’est lui, il faut que j’arrête de boire, avec cette chaleur en plus, j’allucinne, je compare les chats, avec des personnes, à Lucky ça ne va vraiment pas il serait temps de travailler Un dernier grincement d’escalier et voilà, le calme complet, plus un bruit dehors, plus une mouche qui vole, seulement le ventilateur avec ces haussements. La porte s’ouvre tout doucement, j’aperçois une longue jambe veloutée, d’un blanc limpide, finissant par une chaussure rouge vive, un talon qui n’en finissait plus, derrière une autre jambe apparaît, tout à fait la même, le duplicata identique de la première. Une enjambée que seulement un grand poète pourrait décrire, accroché à ces deux magnifiques jambes, remontant à la hauteur des genoux, venait mourir une jupette blanche, d’un cuir fin qui à l’apparence semblait doux. Une envie de toucher la matière me prend, mais restons calme Lucky, laissons l’oeil expert du maître faire son travail. En remontant la jupette, une chemisette noire transparente, attachait  cette créature à son corps, son décolleté donnant une vue imprenable, faisant oublier toute la misère qu’il y a dehors. J’aperçois à travers sa chemisette son petit soutien balconé en dentelle, comme on voit dans les films X, quand la secrétaire s’abaisse pour montrer à son directeur quelque chose sur une feuille inexistante.. Tout cela  d’un tissus très fin et sûrement très doux au touché, un balcon comme jamais je n’en n’avais vu en réel, digne d’un film porno, sûrement du silicone. Une paire de lolo à faire monter un chevalt, en somme à faire envier certaines femmes qui souhaiteraient avec cette arme, attirer des hommes. En remontant sa chemisette entrouverte, me concentrant sur tous les détails, je regarde son cou qui de mon avis à du attirer plus qu’un homme,  une envie de la mordre, une envie de lui sauter dessus, une envie qui seulement ma maîtrise peutempêcher de tout lui arracher. Mes yuex qui la déshabillent, l’explorant de haut en bas, ne me laissant échaper aucun détail. L’envie de ne plus rien voir autour de moi, de la prendre, sentir contre moi sa poitrine battre contre mon coeur.

 

Je n’arrête pas de la regarder, avec visage si jeune . Sans parler je suis entrain d’analyser  son caractère,  agressif, comme une tigresse qui hurle de plaisir en vous griffant le dos à sang.., Ces grands yeux verts m’hypnotisaient, son regard me paralise. Ces cheveux d’un chatain clair se mélent à l’aire ventilée, bougent dans tous les sens, je n’arrive pas bien à voir la réaction, de l’apparence que je lui donne.. J’examine d’un petit coup d’œil la bijouterie mobile qu’elle porte, une femme toute endiamentée. Jamais vu cela, elle peutt vous rendre fous qu’au regard, elle m’a déjà endiablée., Sa façon de me parler, commence à  me rendre esclave à ces paroles. Je ne vois qu’elle, Rien qu’à me voir mon regard, , elle savait déjà qu’elle m’avait ensorcelé, que mon âme et mon esprit lui appartenaient.

 

- Bonjour,  je m’apelle Vida, vous êtes bien Lucky ?

 

Ces deux mots m’ont donné des frissons tout le long de mon corps.

 

 - Oui, c’est bien moi.

 - . Avant tout je serais directe, peu importe qui je suis ou ce que je fais de ma vie, je crois bien que vous êtes la dernière personne, sur qui je peux espérer de l'aide, car les autres ne veulent rien savoir de mon affaire.

               

Sa voix me fait trembler tout le corps, douce, mélodieuse, accordée avec les notes les plus complètes de compositeur, en bref elle à  une voix qui m’eenchante Une sensualité dans sa façon de parler, une douceur dans ces gestes, provoquante au maximum. Elle s’avance vers moi, chacun de ces pas est  étudié, elle défile devant moi comme  un mannequin, ces fesses vont de gauche à droite, ces longues jambes se frottent presque l’une contre l’autre à chacun de ces pas. Il ne manqe plus que les spectateurs, pour que les applaudissements puissent  assourdir le bruit de ces talons qui caressent le parquet.

 

- Pour une femme aussi belle, le monde entier serait prêt à vous aider.

 - Vous croyez que je serais ici, si tout le monde voulait m’aider. En , tout cas vous êtes tous les  mêmes, macho, puis ils vous complimentes, tout cela pour qu’à la fin ils vous portent au lit, tirent leur coup et vous déchargent comme un sac poubelle. Une chose est sure,  vous m’avais mis de mauvaise humeur.

 

Je ne sais pas quelle mouche l’a piqué, son regard changea en quelques secondes, ses yeux se remplirent de larmes, parfois les femmes ont des larmes de crocodiles, et pour un rien elles se mettent à pleurer. Ce qui m’a étonné le plus c’était son entrée avec une phrase assez sèche, puis elle a continué en douceur, tout cela pour finir en pleur. En tout cas même en pleurant, on voit qu’elle a du caractère, ce n’est pas une femme pour moi..

 

 - Pourquoi pleurez-vous ainsi ?

 - Je pleure parce que tout cela me rend triste, les gens qui vous agressent, les hommes qui ne pensent qu’à me déshabiller du regard en pensant dans quelle position me prendre. Mais toi je sais que tu n’est pas comme les autres et j’espère au moins qu’on pourra bien s’entendre.

- S’entendre c’est vite dit, en plus je suis mauvais caractère, mais avant tout il me faut quelques explications. Vous rentrez chez moi, vous m’agressez avec des paroles, puis ensuite vous me dites, « qu’on pourra s’entendre ».

- Excuse-moi.

- En plus on ne se connaît même pas et tu me tutois.

- Pardon,

-Je blaguais, bon expliquez moi votre cas.

- Voilà la situation, il me faut un travail dans le pays

- Je ne suis pas une agence intérimaire.

- Je sais, c’est à cause de mon Visa, il arrivera bientôt à l’expiration . Tout cela ne m’aiderait pas si je devais être renvoyé dans mon pays.

- Pourquoi voulez-vous rester en Italie.

- C’est à cause de mon frère, il  a du quitter le pays pour un délit qu’il n’a pas commis. Je voudrais rester quelque temps pour surveiller les affaires qu’il à laissé en suspend, en même temps lui garantir une protection.

- J’espère que vous allez m’expliquer cela avec plus de détails ?

- Bien sûr, et pour les papiers vous croyez que c’est possible ?

- Tout cela peut durer très longtemps, sauf si un de mes amis qui travaille au ministère peut vous les faires, mais ce n’est pas donné, vous comprenez. ?

 Je sais, vous croyez que je n’ai pas d’argent

- Non, je n’ai jamais dis ça.

- Mais tu l’as pensé ?

- Non plus.

- Vous pensez que je pourrais trouver un travail en ville, peut être que cela accelera les chsoes, ainsi je pourrais rester tout le temps que je le souhaite, tant que j’aurais du travail.

 - Vous me dites du travail, ce n’est pas évident d’en trouver par ici.  Des secrétaires, il y en à trop, comme serveuse, habillé ainsi vous n’aurez pas de problème de pour boire, vous savez ici les vieux aiment bien mater les jeunes femmes de votre genre..

- Même serveuse,  l’important c’est que je sois déclarée, vous croyez que vous pouvez m’arranger un rendez-vous dans un café assez décent.

- Pour vous trouver une place il n’y a pas de problème, mais ensuite c’est à vous de faire les preuves.,Le problème est que les patrons ici on les mains très baladeuses, il ne faut surtout pas se laisser faire, sinon on risque de passer à la casserole.

- Si vraiment il le faut pourquoi pas, mais je crois qu’on c’est mal compris. Je n’ai besoin que d’être déclarée quelque part, et pour le reste je m’arrange. J’ai assez d’argent pour payer les frais. Mais dites-moi normalement un détective à toujours une secrétaire, où es la votre ?

 - J’en avais une, mais j’ai du la virer, pour faute de moyen financier.

 

Pendant quelques secondes elle s’est tue, me fixant de haut en bas, j’étais gêné, on aurait dit qu’elle me déshabillait du regard. C’est gênant, mais agréable en même temps, une femme qui vous regarde ainsi, ce n’est pas tous les jours. Pourquoi aujourd’hui ? Vendredi treize, je ne suis pas superstitieux, mais avec la mal chance que j’ai. J’ai toujours peur qu’il m’arrive de mauvaises aventures, alors soyons prudent Lucky, et ne nous laissons pas avoir. Je me dis toujours que les belles femmes, emmènent toujours des ennuis.

 

-  Mais qui vous a dit qu’il fallait me payer ?

- C’est normal, toute personne qui travaille a le droit d’avoir un salaire ?

- Ce n’est pas toujours dit, il y a des exceptions, si je vous dis que c’est moi-même qui me verserait mon salaire, vous il suffit que vous me déclariez.

- Vous-même, qui vous payerez, elle est bien bonne celle la .

- Oui, comme tu dis, elle est bien bonne.

- Alors vous n’avez pas besoin de moi ?

- Si au contraire, pour les papiers, je viens de vous le dire, je crois que vous avez un problème d’audition.

 

- Alors la, je ne comprends plus rien, il faut que je m’assoie deux minutes pour rèflechir un peu,il y a quelque choses qui m’échappe.  En attendant vous prendrez bien un verre ?

- Oui, avec plaisir. Je n’osai vous demander de m’offrir quelque chose à boir, avec tout le stress que j’ai encore.

- Whisky, Scotch, Cognac ?

- Je vois que  vous y allez fort en boisson, c’est chaque fois comme ça quand vous avez un nouveau client ?

- Non seulement dans les grandes occasions, car sinon, je ne boirais pas souvent, et des grandes occasions c’est chaque anniversaire d’un ami, ou du mien. Mais tu peux me dire « tu ».

 

J’ouvres mon immense bar asiatique qu’on m’a offert pour mes 30 ans, impréssionnant à la vue, mais une fois ouvert quelle décption, 3 bouteilles pour toutes ces étagères. Quelques verres encore tout poussiéreux étaient bien mis en évidence, je fis vite de les cacher.

 

 - Pour les glaçons il faut attendre un petit moment, il faut que je déscende au café, chez Gino, il se fera un plaisir de m’en donner. En attendant fait comme chez toi, et surtout ne regarde pas le désordre.

 

Avant de déscendre je me suis permis de jetter un coup d’oeil vicieux à travers la serrure, pour mieux  admirer cette femme, qui pour moi  venait sûrement d’une autre planète.  Elle s’assoit en fasse de la  porte droit devant serrue, à dire que j’avais fait expres de mettre le canapé devant. Elle croise ces jambes, « quelle vue », un slip transparent, de couleur blanc cassé, en entr’aperçoit à travers son pelage châtain. Un fantasme de la vie, pouvoir regarder ainsi des femmes, qui par leurs gestes innocents, vous provoquent par jeu. Des fois on ce les imagines pendant quelques secondes, pensant comment leur faire l’amour, comment les aborder. Mais le but du jeu c’est de regarder, de les faires rougir, de leur montrer que c’est agréable à la vue, sans faire le maniaque, ainsi votre coeur commence à battre, à chacun de ces gestes ou regards, votre coeur réagit, il brûle intérieurement et votre pantalon, fait deviner l’exitation que vous ressentez. Des fois je pourrais passer des heures sur une térasse ou dans un café à la recherche de cette âme qui appaisera ma faim ou me donnera de l’apétit. Ce n’est pas du voieurisme, mais de la curiosité, deviner ce qu’elles portent en dessous, le plus terrible, c’est quand l’une d’elles ne porte rien en dessous, cela me fait exploser, mais je maîtrise la situation et lui adresse en retour un sourire de satisfaction. Certaines adorent ce jeu, d’autres se lèvent et repartent, sans savoir qu’en ne faisant rien, elles pouvaient rendre heureux une personne, lui donner de l’inspiration dans ces jeux d’amour..

 

Gino se faisait un plaisir à me donner des glaçons, ayant aperçu la créature à qui, il avait donné mes cordonnées et l’endroit où je me trouvais, il me dit :

 

 - Sacré bandit, toujours de la veine les Italiens comme toi !

 - Et que veux-tu, c’est la vie, toi aussi tu es italien, tu n’as pas de la veine toi ?

- Moi ça fait 10 ans que je suis ici, et à part la mamma, je n’ai vu personne d’autre.

- Racconte cela à un autre mais pas à moi. Pourquoi tu n’as pas changé de métier, quand je te l’avais dit. On aurait pu faire un beau duo de détective privé.

- Détective de quoi ?

- Détective de tout. Des missions spéciales comme dans le bon vieux temps quand on était jeune., Ou des belles hostesses  viennent t’accompagner au repas d’affaires, qui te font passer pour un grand boss et je t’en passe bien des choses pour ne pas trop te dégoutter.

- C’est vite dit, tu as des études, tu es intelligent, et moi de tout cela je n’ai appris que la cuisine.

- Dis, arrête un peu avec tes conneries, je sais bien que tu sais faire autre chose que cuisiner, je te verrais bien dans une décapotable blanche, comme dans les films, avec des lunettes noires,  un impérmeable, un révolver attaché à la poitrine, toutes les nanas te courant derrière.

- On peut toujours rêver.

- Mais c’est des rêves qu’on peut toujours réaliser tu ne crois pas. Bon il faut que j’y aille, il y a un canon qui m’attend en haut et je n’aime pas faire attendre les dames..

 

 

Je m’empresse de monter l’escalier pour rejoindre cette créature, qui sûrement m’allait apporter beaucoup d’argent et d’ennuis avant tout. Comme je dis toujours «je n’ai rien à perdre, plus mal je ne pouvais plus tomber », puisque j’étais déjà réduit au minimum, et que la banque attendait mes six mois de loyer. Heureusement que j’ai quelques petites relations à l’intérieur, j’ai  de l’argent, mais si je paye tout de suite, ils remarqueront que c’est de l’argent en noir, vu les fiches des salaires minables que je me fais, et déclare que la plus petite partie. Je ne voudrais pas qu’un jour le fisc m’attrape, pour me faire payer mes retards.

 

- Hop ! Zut !

 

J’ai loupé la dernière marche, mon nez rentre tout droit dans la porte, quel bruit. Tu paris Lucky, que tout l’immeuble à entendu, et qu’ils vont tous me secourir, sauf elle, cette magnifique créature.

 

La porte s’ouvre, tout doucement.

 

 - Oh ! Tu t’es fait mal ?

 

Mes yeux se relèvent sans oser, quelle vue, quelles jambes. En tout cas j’avais tout faux, il n’y avait qu’elle pour me secourir.

 

- Non ça va, j’ai juste glissé sur cette foutue dernière marche, le jour ou j’attraperais le propriétaire je lui en toucherais deux mots et il s’en rapellera de cette marche, je lui ferais bouffer, j’espère qu’il est plus petit que moi, sinon je crois bien que c’est moi qui vais bouffer la marche..

 

Elle se penche pour m’aider à me relever, mes yeux se sont immobilisés sur son corsage, Mamma mia, quelle belle paire de lolos, son soutien demi balconé, transparent comme la petite culotte, faisait entr’apercevoir  les tétons pointus, qu’on ne pouvait rater l’effet qu’ils faisaient sur sa chemise.

 

 - Merci !

 - De rien, je suis à votre service.

 - A, la non, c’est moi.

 

On rentre dans mon bureau, je reste derrière pour mieux admirer le châssis. La forme de ces fesses, me faisaient rêver, sa démarche les rendaient encore plus apétissantes. Comme dans les films, je rêvais, d’allonger ma main pour pouvoir les caresser, lui lever tout doucement sa jupe pour savourer le parfum de sa peau, de les carresser, de les croquer, la je crois que je risquerais de m’en ramasser une, mais au moins je sais pourquoi ?.

 

- Vous êtes un petit filou, vous restez derrière pour pouvoir mieux zieuter, vous savez, vous n’êtes pas le premier qui me fait le coup, d’habitude, c’est quand je monte des escaliers, qu’on me laisse passer devant, ainsi, les vicieux peuvent admirer mon dessous.

- On n’est pas tous les mêmes, je ne pensais pas du tout à cela, je voulais juste admirer ta démarche, c’est ainsi que je peux décrire une femme.

 

Une chaleur monte en moi, sûrement que je dois être rouge de honte. Elle lit dans mes pensées, il faut que je fasse attention à ce que je fais, si je l’énerve trop, elle va vraiment m’en mettre une.

 

- Bon, maintenant que nous sommes installés avec notre verre à la main, explique-moi la raison de ta présence, si possible avec tous les détails, en essayant de rien oublier.

- Je t’explique par le début, ou tu veux directement savoir la fin ?

- Je crois que le chemin le plus direct, devrait être celui de la fin du début.

- Voilà, mon frère Tinto, à disparu depuis quelques mois, la raison de sa disparition est sûrement due à la bande de Grimaldi. Il a assisté à l’hold-up de la Banque de Conti, plus de cinq cents millions de dollars qui ont été volé. Il y a eu plusieurs morts, dont la personne qui conduisait la voiture qui contenait l’argent, qui lui a été retrouvé à quelques kilomètres plus loin. Ils n'ont jamais retrouvé l’argent, ni les tueurs. Conti avait tout arrangé avec Grimaldi pour ce hold-up, pour qu’ensuite l’assurance rembourse, mais quelqu’un a joué le double jeu, le FBI était dans le coup, et les deux fils de Conti aussi. Mon frère Tinto et les deux frères  Conti ont directement disparu après le hold-up, et n’ont depuis donné aucun signe de vie.

- Mais qu’est ce que je pourrais faire pour votre frère ? En plus qu’est ce qu’il a, à voir les dedans ?

- C’est lui qui est rendu coupable du meurtre du chauffeur, et font courir le bruit qu’il a aussi tué les deux fils de Conti.

- Et vous qu’en pensez-vous ?

- Qu’il n’était pas là, il était avec moi à l’enterrement de notre mère.

- Attendez, vous venez de dire qu’il a assisté à un hold-up, et qu’il était avec vous.

- Je sais que c’est compliqué à croire, mais je vous expliquerai dès qu’on aura retrouvé mon frère et ces preuves, qui normalement il porte sur lui.

 

Je pense que tout cela sent très mauvais, les Grimaldi, famille italienne très connue et respectée dans tout l’État, et Conti le milliardaire, qui ne savait pas quoi faire avec tout son argent, qui pour cacher ces vices à ouvert une Banque à son nom, pour qu’il puisse quand ça lui plaît engager ou virer les employées qui ne veulent subir ses sévices, j’ai toujours dit que c’était un gros porc. Mais il faut faire attention avec lui, il à des hommes partout, des yeux dans les quatre coins du pays, j’ai toujours peur qu’il n’ai mis un micro dans mon petit studio.

 

- Bon en attendant que je classe tout ça par ordre dans ma tête, je te propose de reprendre un petit remontant ?

- C’est d’accord, cette fois ci un double whisky, pour me remonter un peu de toute cette histoire.

- Il vaudrait mieu que tu dormes dormir ici quelque temps, j’ai une pièce secrète, disons bien cachée derrière la bibliothèque, ce n’est pas exactement tellement bien rangé, mais c’est l’endroit que je préfère.  Tu y seras tranquille pendant le temps que je trouve un plan,  il y a tout ce que tu désire, il suffit de fouiller un peu, et tu trouveras. Pour manger, il y a un interphone directement connecté en bas chez Gino, tu peux lui commander tout ce que tu veux, il fait des plats délicieux, en cas de pépin ou de visite peu recommandée il te sonnera. La porte que tu vois près de ma bibliothèque donne directement au garage du sous-sol. Il y a deux voitures, les clefs sont toujours dessus, si tu désire me voler, je te retrouverai facilement, j’ai des relations dans les quatre coins du pays, et mes voitures sont directement reliées au poste de police, donc il me serait très facile de savoir où tu es à n’importe quel moment.

 

                               Mais qu’est-ce qui me prends tout d’un coup, je crois qu’elle commence à me faire perdre la tête.

 

- Je blague, juste derrière la rue il y a une station de taxi, tu leur dira que tu viens de ma part. Surtout n’oublie pas ce plan que je te donne,  il y a un emplacement indiqué en rouge, tu y vas et tu attends que je vienne te chercher, capito.

- Capito, mais pourquoi ?

- Je pense que si on veut retrouver ton frère, ils vont commencer d’abord par rechercher sa sœur, il leur sera facile de retracer ton frère. Il ne vont pas se géner pour leur dire qu’ils sont entrain de te torturer à mort, pour que tu leur révelle l’nedroit,  tu sais ici les nouvelles vont plus vite que le téléphonne, les conaissants un peu ils ne  mettront pas longtemps pour te retrover, ils emploieront tous les moyens pour le faire sortir de sa tanière. Ils sont très fort, ils n’aiment pas trop aller chercher les gens, ils préfèrent qu‘eux viennent à eux, pour démontrer leur puissance. Le pire dans toute l’affaire c’est qu’ils ne font aucune différence entre une femme et un homme, aucune pitié, ils torturent d’une façon inhumaine, des fois je me dis qu’il vaudrait mieux être un rat pour rester caché dans les égouts, de peur de me faire attraper.

- Qu’est-ce que je ferais sans toi ?

- Ce que tu as fait jusqu’à maintenant, te débrouillant comme une grande.

- Grazzie Lucky.

- De rien, je vais juste me raser et me rafraîchir un peu, il commence à faire nuit dehors, et la nuit c’est le meilleur moment pour tirer des renseignements aux personnes, car souvent dans les heures tardives les gens ont besoin d’argent, et je leur en donne contre des renseignements.

 

 

Je rentre dans mon étroite salle de bain, j’ouvre le petit meuble qui tient tout juste avec une vis et que je me demande comment il fait encore à tenir.

 

Le rasoir commence à travailler sur mon visage, du coin de l’oeil je regarde Vida entrain de se resservir un troisième verre, son oeil toujours examinateur entrain de regarder dans les quatre coins de la pièce, que cherche t’elle exactement ? M’a t’elle dit la vérité ou m’a t’elle menti ? Puis m’apercevant qu’elle m’avait vu l’espionner, je fis semblant de rien, et continua à l’observer à travers le miroir. Chacun de ces mouvement me faisait frissonner, elle s’abaissa pour ramasser son briquet qui venait de lui glisser de la main, quel panorama, ces fesses bien ferme à l’air, au milieu, une petite bande blanche, au bout de cette jambe qui n’en finissait plus, un porte jartelle, tenant son bas blanc. Une réaction directe naît en moi, mais calme, si je prends des glaçons pour les faire fondre, elle risque de s’apercevoir de l’excitation qu’elle me provoque.e.

 

En attendant, je ne savais pas dans quel merdier j’allais me mettre, mais le futur me le dira. Et si jamais elle me joue un double jeu, je tâcherai qu’elle n’oublie jamais le jour ou je la punirais, je déteste qu’on se foute de moi, Ma gentilesse, se transforme en rage, je suis capable du pire au monde.

 

- Oh ! Excuse-moi, je croyais que tu étais déjà sorti,

- Non, comme tu vois, je suis encore là.

- Je vois que tu m’as vite remplacée, tu as trouvé l’excuse pour ne plus me payer pour me foutre à la porte, et t’amener la première traînée du coin.

- Comment te permets-tu Gilda, de me parler ainsi, c’est une cliente qui me donne du boulot, excuse-toi tout de suite.

- Excusez-moi madame, c’était plus fort que moi, après toutes ces années passées à ses ordres vous me comprenez.

- Il n’y a pas de problème je comprends, je m’apelle Vida et vous je suppose que c’est Gilda.

- Enchantée de vous connaître, les clientes de Lucky sont mes clientes, même s’il a oublié de me payer quelques mois, je l’ai toujours estimé pour sa sincérité..

- Bon puisque les présentations sont faites, Gilda tu peux rester avec Madame pour lui tenir compagnie, le temps que j’aille me renseigner dehors auprès de mes quelques informateurs. Si vous avez faim ou soif, Gino se fera un plaisir de vous régaler S’il vous -plaît, ne mettez pas l’addition sur mon compte, elle est déjà assez salée comme ça.

- Ne te préocuppe pas Lucky, je payerai de ma poche, et réglerai ta facture, ainsi tu pourras à nouveau l’allonger.

- Merci, c’est gentil  Vida, il faut que j’y aille, ne m’attendez pas je risque de rentrer tard, n’oubliez pas de verrouiller la porte derrière moi.

 

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