on était

On était touslà entrain de se faire bruler par la neige, il fait du moins 30 degrés une chaleur insuportable, on attendait le marchand de glace pour pouvoir nous désouller de la veille, une bonne glace à la vanille chocolaté de fraise,,,hum....la pluie ne céssait de tomber, nos maillots encore secs étaient toujours sec, mais derrière la montagne l'ombre du soleil, l'ombre seulement car pour le soleil on peut rêver,,,on était toujours là, dix centimètres de glaçons sous mon nez pendaient, armé de gants de toilettes, brosse à dents, chaussures de montagne, caleçon de laine Italien, car les chameaux Italiens sont réputés pour leur laine de verre,,,on était toujour là à attendre l'équipe adverse, notre équipe était là impatiente de commencer ce match de final de la Couppe du Monde, mais qui était notre équipe adverse,,,et oui, c'est eux, les fameux bleus...enfin l'arbitre et les joueurs rentrent sur le térrain, une boule de neige alla directement crever un oeil au juge de l'igne,,,son oeil de verre tomba dans la boue, et tout le monde se mit à le chercher....deux heures après,ouf ! le match enfin allait commencer, sous cette chaleure tropicale d'hiver, j'attaque le premier l'attaquant qui est en face de moi, du pied je lui traverse le ventre, ma chaussure coincée dans ces trippes encore chaudes de la veille de la bouffe qu'il n'avait pas encore digéré, il me manque un crampons, je fouille avec mes mains à l'intérieur, je lui  sors les boyaux, rien, les intestins, toujour rien, il était là me ragardant en rigolant, il avait mon crampon dans la bouche, d'un coup de poing je lui défonce les dents, il ne réstait que mon crampons,,,je continue mon attaque, mais en face de moi , plus fort que moi , un autre français Deschamps, Marié avec de la Prairie, son premier fils s'appelle paturage, son deuxième, botte de foin, car il est sortis tout sec. Lui n'a pas eu plus de chance que l'autre, il fonce sur moi, j'eu le temps de sortir ma nouvelle ache dépliable, et vlan, les deux jambes d'un coup, il me court encore derrière avec les deux bras par terre, il fonce, il est derrière moi, et voilà que vlan, un autre coup sur le bras droit, mais il continue à se trainer du gauche, et vlan le gauche, mais c'est un dur, avec la langue il rampe sur le terrain, et continue, mais pas de chance un joueur à moi lui marche sur le nez, je continue à foncer vers l'avant, ne ragardant plus l'arrière, et voilà que Ziné Zin Zigane arrive, en face de moi, son oeil droit prenait la mire, et le gauche était tout prêt à me tirer dessus, mais le temps de me voir, un coup de trançoneuse bihoionique et voilà, découpé en 15 000 morceaux, il n'a pas souffert, j'ai même eu le temps d'enlever tous les os. Mais il me réstait encore du chemin, et derrière tout le monde m'avait oublié, en courant je chantais l'imne national du pays d'origine d'où j'étais né, c'est un pays qui m'a donné naissance et aide, je ne pouvais décevoir les 5 milliard de téléspectateurs du jeu de la roue de la fortune, et l'autre moitié de une quéstion pour un champion, dans ma course folle vers le but, le téléphonne sonna, c'était un potte, qui voulait me faire une blague en me disant que le match était annulé à cause d'intempéri...mais je ne l'ai pas crus, car j'étais entrain de jouer, je continue, mais avant je balance mon télé,fax,mobile, je balance ma télé portable, avec télécommande, le vidéo et les cassettes,,,heureusement car ça faisait lourd,,,je continue sur ma lancée, l'arbitre ne m'as toujour pas donné d'avertissement, il ma dit de ne pas trop faire de fautes sur les jouers, la prochaine serait un avertissemnt,,,,je continue en face de moi  un défenseur en défense qui défend la défense, et se défonce à la marjuana, c'est sniffé toutte les lignes du terrain, et se pique au jus de cerise, je crois qu'il se doppe, mais il faut confirmation du médecin, il arrive sur le térrain, lui fait une analyse du sang, l'envois en Italie et attendons impatiement la réponse par fax, que je vais soigneusement rechercher sur le terrain, un fois branché le fax, je le drible en lui fouttant un crochet imparable sous les dents du menton, son nez part en éclat, sa bouche seigne, il continue à jemir, je lui fracasse le crane à coup de baton de corner, il ne bouge plus, l'arbitre à côté de moi regardait la scène, et me dit, je n'ai rien vu, en plus il avait une tronche qui ne me revenait pas, je continue et voilà que je dis merde en glissant sur une peau de banane du Zoo d'en face, l'arbitre sort la carte jaune, et merde rouge, Match fini

Lucky le fou inconnu