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Le blog de luckymo

nous revoici

 

Nous revoici reparti pour pulvériser le record du monde...tout le monde est prêt à s'aventurer dans la jungle pour rencontrer le roi Lyon...mais le seul problème est, que nous n'avons que l'essentiel pour survivre, à vrai dire le strict minimum...douze cent boîtes de conserves, trois mille litres d'eau...une centaine de porteur pour le chauffage, la maison, la voiture, la nourriture, les femmes etc...cela va vraiment être dur...pas pour moi, mais pour eux. Aussi, de porter tout ça sur le dos, mais nous voici parti à l'aventure,,,dans cette jungle sauvage...où à chaque coin d'arbre, un piège ou un danger nous attends...nous voici en direction des cascades tombantes, les plus petites du monde, 30 mm sur 30 millimètres,,,pour les trouver ce n'est pas facile, toutes nos recherches à la loupe...je ne vous dis pas le dos au soir. Le chemin est herbeux, broussailleux, plein d'arbres, d'araignées, d'insectes...mais avec ma tronçonneuse ultra légèrementbiotechniquementappliquable...de 45 kilos...je coupe tout ce qui se trouve sur mon chemin, mais il y avait un porteur qui m'avait devancé et c'était arrêté près d'un arbre pour faire un petit besoin...j'ai vu un tronc dépasser...et hop...le pauvre..N’a pas souffert,,,j'ai du l'achever à coup d'ache...il n'a eu que le temps de voir ça montre cela a duré plus de deux heures avant qu'il ne rende l'âme...on peut dire qu'il y a des jours ou ne l'on à pas de chance...puis on a avancé à travers les dangers de la vie..et oui vous avez deviné, il y avait des animaux dangereux, on n'arrêtait pas de marcher sur place sans s'arrêter en faisant des pauses, tout cela m'agas sait, on allait jamais arriver au but du centre. Les montagnes avaient d'énormes montées, et tout de suite après il y avait une descente, je ne pouvais m'empêcher de courir en descendant, j'étais fous, je n'arrêtais pas de me prendre les arbres l'un après l'autre, de tomber et glisser pendant plusieurs centaines et centaines de mètres, en m'accrochant aux rochers, aux troncs d'arbres par terre, même un bûcheron j'ai pris avec, lui il n'a pas eu de chance, le premier rameau la enfourché et retourné les trippes. Le pauvre, je l'avais à peine connu et voilà qu'il me quitte déjà, on peut dire qu'il y en a qui ont moins de bol que lui, moi par contre, je continuais ma chute infernale, sans oublier qu'en passant devant le bûcheron sa tronçonneuse était allumée m'arracha les deux jambes et les deux bras, mais je réussissais à m'accrocher quand même avec quelque chose, ensuite une grande rivière appelée rivière du bord de la montagne que je descendais, c'est ainsi qu'on la bâtie après ma chute, mais ce n'était pas une rivière c'était les chutes du Nirvana, pardon du Viagra, je me suis trompé du Niagara, enfin. Aucune chance de ne pas ressortir mouillé de la, je percute de plein fouet un immense tronc d'arbre qui atterrit sur ma tête, le tronc cassé en deux, heureusement que j'avais des as pros, sinon je ne vous dirais pas le mal de bras que j'aurais, un bond de huit cent cinquante quatre mètres et douze centimètres, heureusement que j'ai toujours un mètre avec moi, le problème à été de mesurer en 855 fois la descente, cela a pris du temps, mais super Lucky a toujours ces astuces, douze heures sous l'eau avec la pression sur moi de la cascade qui tombait de haut, sans oublier tous les troncs d'arbres qui n'arrêtaient pas de me torpiller. A coup d'oreille je réussis à battre le record du monde d'apnée, ensuite les cent mètres papillon, pour ensuite battre celui de la brasse, tous les journalistes étaient entrain de m'attendre sur la place d'arme du café d'en face de chez Jakipasd'chance la menace publique, mais moi j'étais bas bête, ils voulaient tous que je leur paye à boire, que dalle, j'ai changé de café, et c'est la qu'en rentrant je remarquai une étrange sensation, comme si mes articulations avaient disparues, mais heureusement que jojo avait une paille et c'est ainsi que je ne suis pas mort de soif. Au moment ou je voulais sortir l'argent des poches...avec mes oreilles...le reste qui me restait dans le morceau de tissus qui était encore attaché sur moi, tomba dans l'égout, je peux vous dire que ce n'était pas mon jour de chance.

Lucky le fou inconnu

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